La Taverne de la Rose Noire *RP libre*

S'adressant à la fois à la discrète demoiselle et au gentil voyageur :
"Durée indéterminée ou plusieurs jours d'occupation réclame avancent une somme de 3 pièces d'argent par sécurité s'il vous plait.Vous comprendrez que l'on ne peut se permettre de compter sur la seule parole de gentilsgens..."

Se tournant vers la Femme : "Ravie d'apprendre que nos Services vous font rester. Non, personne n'a demandé après vous, peut-être faudrait-il que je sache qui l'on demande si jamais ? Et en ce qui concerne les soucis de vandalisme ou de vol, adressez-vous à la milice du coin. Il me semblait que ce Bon Seigneur *désigne le Guerrier sur le départ, du menton* s'y rendait justement."

(Fort généreux d'ailleurs ! Des clients comme celui-ci, il m'en faudrait une poignée pour relever l'affaire !)

Puis s'adressant au Voyageur : "Nous vous ferons monter le repas dès que possible Monsieur. Que pouvons-nous faire d'autre pour satisfaire Monsieur ?"

Fini par s'accouder face au pêcheur et lui proposer : "Il prendra bien quelque chose le Vieux Gildas ?"

Affalé sur le bar, le vieux Gildas ronfle à en faire trembler les murs. Il murmure des paroles incompréhensible dans son sommeil agité. Dans un sursaut, il lâche l'étrange récipient qui semblait contenir quelque chose. La bouteille roule sur le bar avant de tomber et de se briser au pied d'un client. Ce dernier se penche pour contempler les dégâts lorsqu'il s'exclame :

" Tiens ! Y'avait un parchemin la d'dans ! "

*Après un moment d'absence, le combattant refit irruption dans la taverne, une jeune femme dans les bras. Bien qu'il posséda un tabard dont les couleurs du sang n'y ferait que peut de trace, on pouvait en voir sur le reste de son armure ainsi que sur son bouclier et le fer de sa lance que tenait la demoiselle qui le suivait, trahissant le combat qui avait eu lieu. Il s'adressa à elle.*

(Enfin arrivé, nous allons pouvoir souffler un peu)

"Montrez moi où se trouve votre chambre qu'elle puisse se reposer en paix"

*En passant à côté du comptoir, il aperçu la tenancière qui astiquait inlassablement ses gobelets. Il s'adressa à elle.*

"Damoiselle, puis-je vous demandez de préparer un repas chaud pour cette pauvre enfant *désigne la femme dans ses bras* et le monter à la chambre de cette damoiselle ? "*désigne celle qui le suit*

*Il monta ensuite à l'étage pour déposer la pauvre femme dans la chambre.*

La jeune fille gémit puis, dans un sursaut, sortie de son sommeil.

Il faisait nuit dehors, je le voyais et aussi me demandais-je où j'étais. Je me redressais et regardais autours de moi. J'étais dans une chambre et surtout, sur un lit. J'essayais d'assembler mes souvenirs pour savoir quand est-ce que j'étais arrivais dans cette chambre... Quand, je me rendit compte qu'il y avait une silhouette au pied du lit. Non, ça ne pouvait pas être l'un d'entre eux, et puis de toute façon, si ils m'avais attrapée, ils m’auraient surement encore enfermée dans cette horrible chambre tout en haut de la tour des maréchaux... Aaaah... rien que d'y penser me nouer la peur au ventre ! Je me levais et me dirigeais à tout petits pas vers la fenêtre. La silhouette avait l'air endormie alors j'ouvrit la fenêtre et sautais. Il ne fallait surtout pas encore mêler quelqu'un à mon histoire. Vue comment cela c'était terminé l'autre fois... Quand j'eu atterrie par terre, je courrais en direction de la forêt et cette fois, je me rendrais directement dans son château pour me rendre...


Sur le chemin de la paix, bonheur tu trouvera.

Après avoir répondu aux attentes de ses clients, la Tenancière fini par lancer plus pour elle même que pour l'assemblée :
"Ils vont finir par m'attirer des ennuies" (comme si j'avais eu besoin de ça !)

*J'indiquai à un des larbin de monter deux repas chauds puis soupirai*
A lui : "Précise leur que c'est offert par la maison...ça excusera notre retard. Et apporte une couverture de plus pour la demoiselle, je crains que la petite ai besoin de tout son confort."(J'aurais moi aussi bien besoin d'une nuit de sommeil...)

L'homme monta les marches et, une fois arrivée à la porte, déposa les plateaux au sol, alla s'enquérir d'une couverture dans un des tiroir de l'armoire mise sous clée et frappa à la porte : "Votre repas Madame !" Sans attendre de réponse, il s'en fut laissant tout ceci derrière lui

La jeune fille était essouffler mais tenait bon.

J'y suis presque, et de toute façon, je ne suis pas pressée de mourir. Je dépasse maintenant une croix en fer qui a été plantée à côté d'un gros sapin. Dessus est inscrit: "à notre amitié sans fin". Je me fige et me dirige vers la croix. Oui, c'est bien elle, la croix que mon héros et moi avions plantée au printemps dernier avant que nos ennemis nous retrouves. Je secoue la tête et je continue de courir en direction du château...


Sur le chemin de la paix, bonheur tu trouvera.

L jeune fille, épuisée s'arrêta et s'assit sur un talu.

A bout de souffle, je m'écroulais sur le talu et regardais le ciel emplis d'étoiles. Quand j'eu repris mon souffle, je me levais et je repartais en courrant de plus belle quand tout à coup, j'entendis une voix dans ma tête : Arrête, ne va pas plus loin je te dis, tu en a asser fait comme ça. ne pleure pas, ne soit pas triste car, je suis toujours vivant mais ils me retiennent dans la tour des maréchaux, tu sais, la chambre oû ils nous avaient enfermés tout les deux... Quoi qu'il en soit n'y va pas, ils te prépare un sort des plus horrible et j'en mourrais si ils venaient à te tuer. La voix disparut et des larmes me montères aux yeux. Je m'écroulais à terre en sanglotant.


Sur le chemin de la paix, bonheur tu trouvera.

*Je cours toujours dans la même direction, les branches me déchirent ma cape et mon souffle se fait haletant.*
(Je ne peux pas abandonner maintenant, ce ne serait pas digne de moi et que dirait le maitre? Je ne peux le décevoir car de là haut il veille sur moi je le sens. Courage...)

*Je cours encore et encore quand soudain j'entendis des bruits qui se transformèrent en sanglots et s'intensifièrent au fur et à mesure que je me rapprochais.*
(J'espère que c'est elle...)

*Je passe devant un talus et ma vue se brouilla de nouveau*
(J'en ai jamais eu autant ça fait mal...)
*Je tomba sur le talus sur le dos et cette fois je me vis regardant le ciel avec une immense douleur dans la poitrine, je vis le ciel, les étoiles et mes yeux s'emplirent de larmes. Je me lève et me remets à courir mais pour une raison qui ne fut mentionnée dans ma vision je m'écroulais sur le sol en larme.*
(C'est la première fois que ça m'arrive tu as vu? Oui tu étais ses yeux c'est étrange ton pouvoir évoluerait? Non, pas si vite... Quoiqu'il en soit elle n'est plus loin!)

*Je continue d'avancer et je la vis sur le sol pleurant de tout son être. Je m'avança lentement et remettant la capuche sur mon visage*
"Jeune fille? Tu es blessée? *je reprend mon souffle* Ne crains rien, je ne te veux aucun mal. J'étais là quand le guerrier t'as sauvé de ces hommes. J'étais dans la chambre quand tu as décidé de partir. Je suis de ton coté si on peut dire. Je veillerai sur toi si tu as besoin de moi mais je t'en pries de grâce ne fais pas ce pour quoi tu es partie. Cela te conduira à ta perte sans conteste!"

Le jeune fille toujours sur le sol n'avait pas bougé et ne cessait de pleurer.

"Tu m'entends?"

La jeune fille se tourna vers la femme.

<Il n'est pas mort... (je dit en regardant la femme dans les yeux) mais ils l'on...
Je me fige, car à nouveau, sa voix sz fait entendre: Ne fait pas n'importe quoi voyon ! Personne ne doit savoir, tu m'entend ? Personne ne doit savoir ! La voix se stop et je secoue la tête.
<Si, elle a le droit (je dit à voix haute sans le savoir vraiment). Je regarde la femme, me lève et lui dit: <Ne l'écoutait pas. Puis, je tombe à terre, car je sent poindre en moi une douleur...


Sur le chemin de la paix, bonheur tu trouvera.

("il n'est pas mort"? Mais de qui parle t-elle? Qu'en sais-je elle devient sans doute folle? comme toi! ahahah Si c'est pour dire des sornettes tais-toi!)

*Je me précipite vers la jeune fille qui s'était effondrée sous mes yeux, pour lui porter assistance. Elle semblait se tordre de douleur, je devais intervenir. Je sort une nouvelles fleur et récitais tout bas*
"Toi qui de part le ciel veilles sur ma vie et la Terre, accepte ce cadeau et prête moi ta force"

Mais rien ne se produit.
"Étrange. Ton mal ne serait pas physique mais spirituel? Alors je ne pourrai rien pour le moment. Je vais te ramener à l'auberge et tu te reposeras. Tu vas m'expliquer en détails ce qu'ils ont fait et à qui... Tu dois dormir pour le moment. Je veille sur toi n'aies crainte, tu peux me faire confiance. Mais je crois que tu l'as déjà compris..."

*Je prends la jeune fille sur mon dos en prenant toujours soin que mon identité ne soit divulguée et retourne vers l'auberge à allure modérée.
(IDIOTE !!!! On va mourir avec tes bêtises tu le sais au moins! Silence elle est près de ma tête et je sais pas si elle peut t'entendre... Faut dire que personne ne m'a approchée de si près... Sauf lui hihihi. C'est pas le moment de rire tu as vu le signe elle est pourchassée et on ne sait pourquoi. Il est sans doute derrière tout ça. J'en ai peur. Il n'y a que lui pour faire souffrir autant et aussi bien physiquement que spirituellement. Oui je commence à me poser des questions. Si c'est le cas je la plains car déjà pour nous c'est pas simple alors pour elle. Mais si dans le cas contraire ce n'est pas lui le responsable, je l'aiderai du mieux possible et continuerai ma route. C'est ta décision, jusqu'à maintenant tu avais toujours fais preuve de discernement... Nous verrons.

*je vois un cavalier approché au loin au galop, je pose la jeune fille et me prépare à un éventuel affrontement.*
"Ne bouge pas ma belle avec un peu de chance ça va vite se terminer. Toi qui de part le ciel veille sur ma vie et la Terre, combat auprès de moi. SCUTUM"

Une bouclier apparu autour des 2 femmes.
*c'est alors que mes craintes étaient infondées. Je vis le guerrier descendre de cheval et je désactiva mon sort.*
"Je suis heureuse que ce soit vous. Vous arrivez à point nommé car je n'avais guère de force pour aller plus loin. Cette poursuite ma épuisée. Mais n'ayez crainte nous n'avons à déplorer de blessure. Cependant, elle souffre d'un mal qu'aucun de nous ne peut guérir. Elle souffre au fond d'elle même. Mais j'en ignore la cause, elle s'est évanouie sous mes yeux. Vous vous connaissez? Peut-être savez vous de quoi elle souffre? Cela nous serait d'une grande aide..."

*je lance un dernier regard autour de moi.*
"Rentrez d'abord à la Taverne, vous me direz tout plus tard. Prenez la avec vous je vous rejoindrez un peu plus tard... Je dois vérifiez quelques choses..."

*je fouille sous ma cape et en sort une petite orbe blanche, je la tends au guerrier*
"Tenez. Si vous avez besoin de moi briser cette orbe. Mais uniquement en cas de besoin et surtout ne la perdez pas. Je vous fais confiance. Je serais de retour d'ici 2 jours si tout se passe comme prévu. Faites en sorte qu'elle se repose, il ne faut pas qu'elle sorte. Je vais tacher de voir où elle allait. Puis-je compter sur vous?"

(C'est bon on aura tout vu! Tu lui laisse l'orbe de Leucosie ! Mais c'est fort bien. J'espère qu'il ne va pas la perdre sinon on risque d'avoir des problèmes. J'espère que tes visions concernent bien ce guerrier car dans le cas contraire tu vas à ta perte. J'ai toute confiance en lui n'aie crainte et nous devons nous rendre au coeur de cette forêt. Je veux savoir où elle alait. A ta guise allons y.)

La jeune fille se réveilla avec un mal de tête épouvantable.

Quand je sortie de mon sommeil pleins de souvenir du château, j'étais de retour dans la chambre de la taverne. Zut ! Pourquoi a-t-il fallu que j'abandonne ? J'étais si prêt du château... Et si j'y retournais ? Oui ! Je me lève et... le guerrier ! Mince alors ! Qu'est-ce qu'il fiche là ?! Je vais devoir trouver une excuse pour pouvoir sortir...
<Je vais prendre un peu l'air dans la forêt, puis-je sortir ?
Puis, tout à coup je fut prise de vertiges et je vis défiler devant mes yeux des images: la première fut l'entrée du château, froide et sinueuse. La seconde fut la sale des trône, immense et colorée. La troisième fut la chambre où mon héros et moi avions étaient séquestrer pendant un an entier. Et la dernière me cloua sur place: il était là, au milieu de la sale des tortures où on m'avais implanté ce poison, allongé sur une table, il le torturaient...


Sur le chemin de la paix, bonheur tu trouvera.