Le château maudit

A côté de la ville se trouve la forêt et au coeur de la foêt se trouve le château maudit bien caché dans une crevasse...

Le château maudit est sans aucun doute effrayant et maléfique, le château est sombre et paraît sans vie mais, quand on passe le grand et large pont-levis pleins de trous, des soldats en armures en surgisse et vous font face. Quand on entre dans le château, la plus part du temps on n'en sort pas... Alors, si vous voulez savoir comment il est de l’intérieur, allez-y...


Sur le chemin de la paix, bonheur tu trouvera.

La jeune fille avançait (et le savait fort bien) vers une mort douloureuse et sans pitié.

J'avançais à petits pas sur le grand et large pont-levis, abîmé par les nombreuses invasions, et j'étais bien décidée à y retourner dans ce château. Je marche dans une flaque d'eau et secoue mon pied mouillé. A ce bruit, un groupe de corbeau s’envole de la tour des maréchaux, qui se trouve tout un haut du château sur sa façade côté Nord. tout à coup, il me reparle: Non, n'y va pas ! Fais demi-tour pendant que tu en a encore le temps... Part, vite... Les mots sont coupés et espacés de quelques secondes comme-si, on lui faisait du mal.... Du mal ?! j'accélerais le pas et deux soldats apparurent devant moi et me firent sursauter...


Sur le chemin de la paix, bonheur tu trouvera.

La jeune fille était maintenant encerclée par les deux soldats en armures.

Je les regardais un par un et me demandais si ils se souvenaient de moi. Tout à coup, de nouvelles images défillèrent devant mes yeux et je constatais avec horreur que mon héros m'envoyait un appel à l'aide. Quand je repris m'étrise de ma vue, je dis aux soldats: <Alors, on a oublié qui je suis ? Les deux hommes se regardes et après une brève hésitation, l'un deux répond: <Nous sommes nouveaux et nous ne te connaissons pas. Qui es-tu et que vient-tu faire ici jeune fille ? <Moi ? (je demande). Moi, je suis la jeune fille à la rose...


Sur le chemin de la paix, bonheur tu trouvera.

Les deux soldats conduisaient maintenant la jeune fille à travers un long couloir sombre et humide.

Encadrée des deux soldats, je marchais tête basse en sachant sans le voir qu'ils me conduisaient à la salle des trônes. Nous nous arrêtâmes devant une gigantesque porte en bois qui s'ouvrit en grinçant à notre arrivé. les deux gardes me poussèrent à l'intérieur et la porte se referma quand ils furent sortis. Je regardais la grande salle et constatais qu'il avait fait changer le décor. Car à la place des vieilles tapisseries brodées, il y avait maintenant un plant entier du mur recouvert d'armes et de drapeaux tachés de sang. je détournais le regard et m'attardais sur une toile gigantesque représentant une bataille.
<Oh, mais que vois-je dans mon humble demeure ? Ne serai-ce pas la jeune Mayou ? (s'exclama une voix masculine à l'autre bout de la salle).
Je me tournais vers la rangée de trône et dévisageais froidement mon ennemis. Toujours dans sa longue cape noire, ses cheveux long et noir emprisonnés dans une queue de cheval et ses grand yeux bleu nuit luisant comme à l’accoutumait. Son sourire figé et sans émotion me fit froid dans le dos et je me sentis trembler.
<Mais que se passe t-il très chère ? On ne me dit plus bonsoir ? Oh..., je comprend, mademoiselle boude parce que sa rose est fanée !
Cette dernière phrase fut comme une gifle. Mon coeur fit un tour dans ma poitrine et je cru un instant que cette simple phrase, dit sur un ton des plus cruel, avait été pour lui tout aussi amère que pour moi et je lus dans ses yeux une haine atroce envers cette rose fanée... Pendant un tiers de seconde je vis toute une colère haineuse foudroyer du regard cette simple rose. Je secouais la tête et dis timidement mais avec fermeté:
< Où est-il ?!
Les yeux de mon adversaire parurent s’enflammer au moment où j'avais prononcée cette phrase. Il se leva et s'approcha à grande enjambées de moi. Je reculais d'un pas mais je fut stoppée par les portes de bois. Appuyais contre les portes, je priais pour qu'il ne me frappe pas comme l'autre fois et, sans m'en rendre vraiment compte, j'envoyais un message S.O.S à Maryu. je le sus car dans ma t^te se représenta la scène que je venais de vivre deux fois et fut comme "envoyée" à Maryu. Pourquoi Maryu ? Je ne sais point, mais, je ne m'attardais pas sur se fait car, se dirigeant à grand pas vers moi, mon ennemis sortis une corde de sa cape...


Sur le chemin de la paix, bonheur tu trouvera.

La jeune fille était térrorisée par l'homme qui s'avançait vers elle avec une corde à la main.

Prise de peur, j'envoyais des signaux télépatique dans tout les sens et ils arrivaient toujours à Maryu et mon héros. je ne comprenais toujours pas ce que Maryu venais faire dans ma tête... Puis, avec un énorme bruit, les portes de bois s'ouvrir à la volée. trois soldats armés jusqu'aux dents accourur dans la salle et l'un de s'écria:
<Nous avons repérés des intrus dans le château !
Mon ennemis se tourna vers eux, fou de rage et s'écria:
<Ah, oui ?! (puis en radoucissant le ton il poursuivit) Alors qu'attendez-vous pour les attraper et me les apporter ?
Les soldats se regardèrent puis le porte-parole du groupe demanda:
<Pourrez-on alors avoir un magicien car, l'un des deux intrus a l'air de posséder des pouvoir...
<Des pouvoirs, dites-vous ? Demandez à un des magiciens de vous accompagner si vous avez peur du noir (répond t-il en faisant un geste de la main en leurs montrant la sortie).
Quand les soldats furent sortis et que les portes furent refermées, il se tourna vers moi et sourie.
<tu a bien de la chance très chère, car si lis n'étaient pas venus, tu serait déjà en piteux état à l'heure qu'il est... Peu importe, ce qui est fait, est fait ! Alors vient !
Il me pris par le bras et me conduisis de force vers le fond de la salle là où les trônes reposaient....


Sur le chemin de la paix, bonheur tu trouvera.

*Suivit de près par Halcyone, Gauvin gravissait pas à pas les nombreuses marches du donjon toujours ses gardes lorsqu'il entendit un bruit. Il s'arrêta.*

"Chut. Plus un bruit"

*Écoutant attentivement, il entendit plus clairement des voix au loin* "Allez vite retrouvez les !! Et souvenez vous le maitre les veut vivants !!!"

"Nous sommes découvert. Pressons le pas !!!"

Nos 2 amis parvinrent jusqu'en haut du donjon malheureusement, ils y étaient attendus.

*nous sommes enfin arrivés en haut de se donjon, mes jambes sont lourdes et mes pieds sont douloureux. Mais nous ne sommes pas en sécurité pour autant car en haut juste devant la porte d'accès au donjon, je vis nos ennemis... ils étaient apparemment 3 soldats épées en mains. Je vois Gauvin se préparant à l'assaut. Mais il restait quelqu'un dans l'ombre de ces gardes. Je le reconnu sur le champ, une seul personne pouvait se vêtir de la sorte. Un mage très puissant, qui fit jadis parti de mes alliés.*
"Méfiez vous Gauvin ils ont un mage qui les protège. Si vous pouvez vous occupez des 3 gardes je me charge de lui..."
(Je ne m'attendait pas à le voir aussi vite... Je pensais pouvoir aller plus loin... Tu ne dois pas le tuer tu le sais?! Je ne peux pas j'en ai fait le serment je le sais! C'est pour cela que nous avons pu nous lier. Certes mais tu as certainement oublié la partie où ton maître t'as appris à bannir une âme. Ce n'est pas la tuer, tu ne dois pas ôter la vie mais si l'âme vie alors ton pacte n'est pas rompu. Mais surtout ne te montre pas encore. Oui, je ne le tuerai pas la seule vie que je dois ôter c'est celle de l'homme dans ce donjon. Il ne fera plus de mal. Alors tu es décidée à mourir? Si tu tue quelqu'un ta vie sera prise tu te souviens. Ma décision est prise si je ne peux pas le bannir alors je mettrai fin à sa vie et à la mienne par la même occasion, c'est mon destin.)

*je vois mon adversaire se mettre en position, j'espère qu'il ne m'a pas reconnu car plus dur serait le combat. Je releva ma manche et me prépara à l'affrontement. Je vois que Gauvin mène un dur combat et malheureusement je ne peux pas lui venir en aide avant d'avoir mis ce mage hors d'état de nuire. Mais je sens mon cœur battre à toute allure au moment où il ôte sa capuche, laissant apparaitre son visage d'enfant tel que je l'avais toujours connu, ses cheveux noirs en bataille. Je vois alors son diadème signe que lui aussi avait fait un pacte avec une créature mythologique. Je compris qu'il m'avait reconnu.*
"Cela fait bien longtemps ma chère amie. Mais cette fois nous sommes sur un pied d'égalité. Tu m'as quitté sans explications mais j'ai compris aujourd'hui. Avec qui t'es-tu liée? Te connaissant cette créature doit être d'une grande force. Mais elle n'égalera pas la mienne, pas maintenant que j'ai enfin le pouvoir de te faire payer ta trahison !"

*Il sort son orbe, elle était magnifique... un astre jaune.*
"Ainsi tu as fait serment auprès de l'esprit d'un Dieu? Tu es bien présomptueux. Que lui as tu promis? Les Dieux ne donne rien sans contre partie... C'est dommage de devoir te combattre et te terrasser. Si tu savais à quel point on se sert de toi..."
"Assez félonne ! Tu vas payer ! Oh toi qui fait briller le soleil le moment est venu de briser notre serment. Prends ton du et terrasse mon ennemi ! DOLOR ORIS !"

*Avant que je puisse lancer le moindre sortilège, une douleur immense envahi tout mon corps et me pétrifia au sol. Je ne pouvais retenir mes cris. Je sentais la fin venir. Gauvin était mon seul espoir lui seule pouvais ôter cette douleur et ainsi me sauver la vie. Mais saurait-il comment? Ma vue se trouble, je sent le sol trembler. Mon ennemi aurait-il peri? Plus rien n'a d'importance car je connais ce sortilège, et il ne me reste que quelques instant à vivre et je les vivrai les plus atrocement possible.*

La jeune fille fut conduite devant l'un des trônes, et l'homme se cola à elle et lui chuchota un mot à l'oreille.

Il m'imobilisa devant un trône puis me pris dans ses bras en me répétant sans cesse<pardon>Ensuite, en me serrant un peu plus, il puis me dit à l'oreille un mot, un seul mot mais qui, pour moi fus comme un arrêt cardiaque. Je me paralysais puis, après deux secondes de luttes, je m'écroulais à terre, le visage tordu de douleur. Je ne contrôlais plus rien pendant q'une force maléfique s’emparait de mon corps et j'en ressentais là une grande souffrance. Pa terre, je me tordais de douleur en criant de toutes les forces qu'il me restais comme si, en faisant cela, j'arriverais à enlever cet esprit diabolique. Pendant cette torture, je distinguais clairement les paroles de mon ennemis, il me disait<Je t'en supplie, pardonne moi car, ce n'est pas par plaisir que je t'inflige ceci, je dois le faire, il le faut ! Comme ça, tu sera comme moi et tu n'aimera plus ce gamin ! Alors pardon, pardon, pardon...Et il continuait à déblater ses paroles incompréhensibles, pourquoi comme lui ? Qu'est-ce que cela signifiai ? Dans mon combat acharné, une petite porte en bois, sur le côté de la pièce, s'ouvrit et, une personne en fut expulsée. La personne se releva et, alarmé par mes cris, se tourna vers moi. C'était lui, comme dans mes souvenir, il était là, bien vivant !<Non ! (cria t-il en courant vers moi).Il fut tout de suite stoppé par un garde et, en pleurant, il s'écria<Pourquoi ?!!


Sur le chemin de la paix, bonheur tu trouvera.

La jeune fille était toujours à terre et maintenant, elle était secouée de spams violents.

Secouée de spams violents, je me tordais toujours de douleur et toujours j'entendais mon héros crier et m'appeler. Dans ma souffrance, je divaguais complètement car, j'étais dans le corps d'une autre personne et je me tordais de douleur, non pas ici mais dans des escaliers. Il y avait un grand home en toge noir qui me regardais en souriant et à côté, il y avait le Guerrier qui se battait contre des soldats. Ils avaient l'air de ce trouvaient dans... Oh mon dieu ! Dans la tour !! Ils étaient juste derrière cette porte !!!


Sur le chemin de la paix, bonheur tu trouvera.

*Gauvin était près à charger les soldats mais lorsqu'il vit Halcyone tomber à terre, terrassée par le mage si rapidement, il se ravisa. *

"Halcyone !!" *Cria t-il*

*Le doute s'empara de lui*

(Que doit-je faire ? Chargé le mage pour lui faire cesser le sort ? Les gardes m'en empêchait et rien ne m'assure que cela mettrait fin au sortilège. Attaquer les gardes ? Halcyone étant à terre, c'est le mage qui aurait tout loisir d'user de son pouvoir.)

*Son regard se posa sur l'orbe jaune qui flottait au dessus des hommes. Soudain, il se souvint qu'à chaque fois qu'Halcyone usait de sa magie, elle le faisait par le biais d'un orbe. La magie de ce mage semblait semblable....*

(Je n'ai pas le choix.)

*Il saisit sa lance de manière à pouvoir la lancer et elle fusa en direction de l'orbe et le brisa. Il sortit son épée pour affronter les gardes qui s'approchait, faisant remparts entre eux et Halcyone. Il espérait que son action ne fut pas vaine ou sinon, il auraient des problèmes tout les deux. Quelque soit le résultat, il savait qu'il se battrait contre ses hommes. Il entama un champ de guerre :*

(J'ai eu de la chance, se battre dans un endroit ainsi restreint ne sera pas évident)

"De même que mon corps est protéger par mon armure, mon âme est défendue par ma loyauté.
De même que mon épée est chargée de mort pour les ennemis de Maëm, mes pensées sont emplis de sa sagesse.
Lorsque j'avance sur le champ de bataille, ma dévotion en fait tout autant.
Par la force de mon épée et la volonté de mon esprit, je purge cette terre et condamne vos âmes au néant"

Après plusieurs longues et atroce minutes de combat contre son envahisseur mental, la jeune fille abandonna la lutte.

Complètement épuisée, j'abandonnais la lutte acharnée que j'avais menée contre ce diabolique esprit et me laissais prendre. Je retombais inerte sur le sol tel un mourant qui pousse son dernier soupir...

La jeune fille ferma les yeux et se laissa envahir, un néant la pris et elle retomba inerte, sur le sol. Etendue sur le carlage de la salle, la jeune fille ne bougeai et ne respirai plus. L'homme en cape la regarda tristement puis, après quelques secondes dit<C'est fini>Puis, il alla s'asseoir sur le trône le plus proche. Des larmes discrètes glissaient sur ses joues pâle et abîmées par ses nombreuses cicatrices. Quand au <héros>, il regarda la jeune fille étendue sur le sol en pleurant. S'il avait put, il se serai jeté au cou de la demoiselle pour essayer de la faire revenir à la vie... L'homme en cape se leva brusquemant et cria tout haut dans une langue étrange <SEPTUM ! Puis, un silence se fit dans toute la pièce, on eu crut que le château tout entier s'était éteint, les gardes s'immobilisèrent et tombèrent à la renverse, on entendit même les gardes de l'autre côté des portes de la salle tomber à terre tel des statue qui se brises...
Puis, une lumière étrange et sordide illumina tout le château, on eut crut que la lumière sortait des murs et des objets. Ensuite, plus rien, la lumière disparue et le château tout entier se retrouva dans le néant de l'obscurité. A un moment, on put voir la jeune fille se lever et quand elle ouvrit les yeux, ils étaient rouge, ensuite, elle sourie, dévoilant deux crocs pointus et aiguisés...


Sur le chemin de la paix, bonheur tu trouvera.

*Gauvin remarqua qu'Halcyone ne se tordait plus de douleur mais paraissait plus qu'abasourdi*

(Au moins elle ne souffre plus. La situation n'en demeure pas moins critique. Je peut me charger des soldats bien que cela ne sera pas facile mais pour ce qui est du mage....)

"Alors il faut que vous soyez 4 pour venir à bout de 2 étrangers ?"

*L'un des hommes répondit à la provocation en chargeant, sa hache levée au dessus de sa tête. Gauvin para le coup de son bouclier et planta son épée dans le torse de son adversaire, qui glissa lentement à ces pieds. (Un de moins) Les deux autres guerriers chargèrent à leur tour, l'un martelant le bouclier de Gauvin avec son épée et l'autre faisait pleuvoir les coups sur son autre flanc avec une hache. Par un coup de chance bienvenue, Gauvin parvint à repousser l'assaillant à la hache d'un coup de pied dans le torse. Il reporta toute son attention vers celui qui se battait à l'épée mais il ne parvint pas à le blesser. L'homme à terre ne tarda pas à revenir à la charge mais fut accueillit par un violent coup de bouclier au visage, lui brisant le nez. Gauvin continua de frapper l'autre soldat et parvint finalement à glisser sa lame entre deux plaques d'armures, lui entaillant la cuisse. Profitant d'un court moment de répit, Gauvin observa ses adversaires et vit que le mage ne bougeait pas et se contentait de regarder la scène en souriant. (Qu'est ce qu'il attend celui là ?) Il fut tirer de son observation par un direct de gantelet d'arme du visage, qui lui ouvrit la tempe droite. Il tomba lourdement sur le sol et vit l'homme à la hache se diriger vers lui pour en fini.*

"Tu vas payer pour ce que tu m'as fait, bougre de fils de putain."

*Gauvin eu le réflexes de mettre son bouclier devant lui, ce qui lui sauva la vie. La hache vint se planter dans le bouclier et resta coincé dedans. Gauvin s'en servit pour le désarmé en envoyant son bouclier plus loin. L'homme, ivre de rage se jeta sur lui et tenta de l'étrangler mais Gauvin parvint à se saisir d'une de ses dagues et la planta dans la gorge de son assaillant. Ce dernier s'écroula dans un gargouillis sanglant à ses côtés. Gauvin essaya de reprendre au plus vite son souffle car il savait qu'il restait un garde. Sa blessure à la tempe lui faisait mal et le sang coulait sur son visage. Il récupéra son épée et chercha son dernier adversaire. Il le vit se relever tant bien que mal en face des escaliers par lesquels lui et Halcyone étaient arrivé. Ne voulant pas perdre plus de temps, Gauvin le poussa dans les dit escaliers et le regarda tomber dans un cri de panique. Soudain, une vive douleur lui fit mettre un genou à terre et lui arracha un râle. Il se retourna et vit que le mage avait sortit un nouvel orbe jaune.*

(Le lâche, je ne peut lutter)

*Son regard se porta de nouveau vers Halcyone et luttant de plus en plus contre la douleur, il sortit une fiole de l'une de ses sacoches et rampa lentement mais surement vers elle. Le sourire du mage ennemi se crispa au fur et à mesure qu'il s'approchait de sa compagne. Il renforça son sort et un nouveau râle de Gauvin retentit dans la petite salle. Gauvin s'écroula au sol.*

(Je.....doit.....y arrivé....)

*Il lança toutes ces forces dans son action. Il parvint au contact d'Halcyone toujours abasourdit. Il déboucha la fiole et versa un liquide rougeâtre dans la bouche de son amie. Il murmura à son oreille : *

"J'ai....réussi... Halcyone....La potion...que je viens de.....te donner.....est une potion de....guérison.......je compte sur toi......pour nous débarrasser.....de lui...car....j'ai confiance...en...toi... "

*Il ne lutta plus contre la douleur, se laissa tomber au sol et s'évanouit.*

*je suis toujours à l'affut du moindre mouvement de mon corps endoloris. Soudain je sens une présence à mes cotés. Gauvin? Un liquide me coule dans la gorge. (Mon ennemi n'utiliserait pas le poison pour m'achever il me ferait souffrir. D'ailleurs pourquoi n'a-t-il rien tenté?) Je sens mon voisin souffrir. C'est donc lui qui subit la peine qui doit m'être infliger. (Réagit Halcyone ! Tu es là?! C'est la première fois que je te le dis mais je suis ravie de t'entendre. On verra plus tard Gauvin t'a sauvé comme tu l'avais prévu désormais c'est ton tour.) Soudain mon corps est moins lourd, la douleur a totalement disparu. En un rien de temps je me retrouve sur mes pieds prête à rendre à mon ennemi les souffrance qu'il inflige au centuple*

"Comment est-ce possible? Tu devrais être morte?! C'est ce chien qui t'a aidé! Je vais m'occuper de toi il doit déjà regretter de s'être dressé contre moi."
"Tu ne peux pas t'occuper de nous deux en même temps Athran."

*Athran se fige dès qu'il entendit son nom et la colère dans ces yeux s'intensifie.*
"Athran est mort au moment où tu l'a laissé tombé! Je t'aimais Maryu mais tu as préféré vouer ta vie à la magie et m'a abandonné. Je suis Phoebus désormais et toi Halcyone. Nos vies sont vouées à nous détruire et c'est moi qui achèverait la tienne. Je sais le pacte que tu as fait avec ton esprit gardien. Tu ne me tueras pas."

*Il intensifie le sort de souffrance lancé sur Gauvin et éclate de rire à la vue de sa souffrance.*
"Alors soit sache que mes sentiments n'ont jamais changé mais je vais devoir mettre fin à tout ça. Pardonne moi. *Je relève ma manche et active mon orbe.* Par le pacte qui nous lie, je t'invoque esprit du vent. Réponds moi et prête moi ta force. AURA ! *Mon ennemi vola dans les airs laissant tombé son orbe qui se brise.* Ce n'est pas fini! Tu as osé t'en prendre à moi et mon ami?! Alors tu vas connaître la souffrance car tu n'as pas dû assez souffrir pour faire ce que tu as fait! STO! Et maintenant si tu crois être le seule a manier les sortilèges interdit tu te trompe. ABSCIDO!"

*Mon ennemi tremble de peur et soudain se met à hurler. Je désigne son épaule gauche et celle-ci commenca lentement de se déchirer comme si je le tranchait d'une épée.*
"Tu n'es pas assez puissant pour m'affronter je t'avais seulement sous-estimé. DOLOR ORIS!"
*Les cris s'intensifièrent car même si je n'avais terminé ma formation, j'avais été suffisamment loin pour savoir lancé au moins 3 sorts en même temps.*
(Stop! Tu sais pourquoi ces sorts sont interdits. Tu ne dois pas les utiliser et encore moins en simultané! Banni le et occupes toi de Gauvin. N'oublies pas la jeune fille! C'est pour elle que vous êtes là! Tu ne pourras pas oublier tes sentiments pour cet homme en le torturant. Reprends toi!)
*Mon gardien avait raison c'est moi que je cherche à torturer par les souffrance que j'infligeais à cet homme. Je l'aime encore et cela me rends malade. Il faut en finir.*

"Oh toi grand gardien des âmes! Je te supplie de me venir en aide! Prends cette âme avec toi et purifies la! Ton prix sera le mien! ANIMA LIBERA !"
*La souffrance de mon adversaire cessa et son âme sortit de son enveloppe corporelle. Le corps tomba au sol inerte. Déclenchant par la même occasion mes larmes. Une voix dans ma tête me dit alors : "Tes larmes mon enfant me suffisent assez. Ta souffrance est immense car ton amour est grand. Je veillerai sur cette âme mais sache que tu ne le reverra jamais. Je ne peux te le faire oublier mais d'où je suis je peux te certifier que nous voyons le cœur des gens et ta souffrance sera guérie par quelqu'un qui t'es proche. Aucun de vous ne le sait mais votre amour sera incomparable et puissant. Il vous protègera de tout car vous serez tout l'un pour l'autre. Garde espoir et soit forte." Puis plus rien. je me retourne alors vers Gauvin qui ne bouge pas. C'est l'effet du sortilège. Il me faut agir. Sans comprendre ce qu'il se passe une de mes larmes tomba sur mon compagnons, une lumière vive nous entoura et le ramena instantanément à lui comme si rien ne s'était passé*

"Que s'est-il passé? Je n'ai pourtant rien fait? Gauvin vous m'entendez? Comment vous sentez vous?"

*Gauvin ouvrit les yeux et la première chose qu'il vit fut le visage d'Halcyone qui pleurait. Il ne sentait plus aucune douleur, mis à part sa blessure au front. Il se redressa.*

"J'ai juste une étrange sensation en moi." *Un court silence, le temps qu'il reprenne ses esprits. Gauvin vit le mage ennemis au sol, inerte*

(Elle a réussi)

"Il semblerait que je vois doit encore une fière chandelle....Vos sorts de soin font des merveilles." *Il vit un mélange de tristesse et de soulagement dans les yeux d'Halcyone* "Pourquoi ces larmes ?"

La jeune fille se réveilla dans le noir.

J'ai froid, j'ai peur, il n'y a personne. Je suis seul dans le noir. Je ne marche sur rien, comme si, je flottais dans les airs. Je me frotte les bras pour essayer de me réchauffer. Rien. Je ne sent rien, je ne voie rien et j'ai de plus en plus peur. Je crie mais personne ne répond. Il n'y a que le noir et le silence, je cours sans vraiment courrir, je crie sans vraiment crier et j'ai peur sans vraiment avoir peur. Puis, une voix s'exclame Tu es à moi ! Je frissonne en entendant cette voix sordide. Mais qui a parlé ? Personne. Il n'y a personne. Et j'ai peur. Et j'ai froid...

Sur le chemin de la paix, bonheur tu trouvera.

La jeune fille criait mais n'avait toujours aucune réponse à part cette voix horrible.

Je réfléchie quelques secondes et me remémore les évènements passé. Il y a eu le noir puis mon ennemi qui m'a dit ces mots à l'oreille: undoubtedly.Et lorsqu'il m'avais dit ces mots, je m'étais figée et cette... cette esprit était venue en moi et m'avait possédé. Maintenant je suis ici, c'est à dire, nul part...


Sur le chemin de la paix, bonheur tu trouvera.